mes pensées

L'oiseau 

Dans une cage dort un oiseau , 
Seul et enfermé 
Alors , seul il pleure 
son maitre est parti en le laissant 
Alors s'il te plait si tu le délivre le 
ET alors il sera libre 
libre à jamais 
Et avec de l'amour il partira 

IMAGE QUI VEUT DIRE BEAUCOUP ,
BEAUCOUP DE CHOSES

- Maman c'est quoi l'amour?
- C'est les sentiments qu'il y a entre papa et moi.

- Maman c'est quoi la vie?
- C'est le moment pendant lequel ton coeur bat.

- Maman c'est quoi l'éternité?
- C'est quelque chose qui ne se fini jamais.

- Maman tu m'aimeras pour l'éternité toi?
- Mais oui, bien sur mon chéri.

- Maman tu crois que je peux vivre à côté
de toi pour l'éternité?
- Dans ton coeur tu le peux.

- Mais maman c'est quoi la mort?
- C'est là où mamie dort.

- Et de là bas elle nous aime encore?
- Oui pour toujours.

- Maman quand je serai mort je t'aimerais toujours.
Toi aussi?
- Mon chéri, tu a longtemps a vivre avant de mourir
alors ne pense pas a ça.

- Mais tu m aimera?
- Oui, toujours

- Maman c'est quand que tu vas mourir?
- Dans pas longtemps.

- Mais pourquoi?
- Parce qu'un vilain monsieur il m'a fait
quelque chose de pas bien.

- Qu'est ce qu'il t'a fait?
- Il m'a blessé avec un couteau.

- Pourquoi il a fait ça maman?
- Parce qu'on n'est pas comme lui.

- C'est quoi la différence maman?
- La couleur de la peau.

- Mais maman, je ne comprends pas,

la couleur de cheveux n'est pas la même non plus.
- Je sais.

- Et on a tous un coeur, nous sommes pareille
puisqu'on a tous un coeur...
- Je sais.

- Et c'est a cause de lui que tu es allongée ici?
- Oui mon ange.

- Mais c'est où ici?
- C'est l'hopital.

- Maman j'ai peur...
- Non, il ne faut pas avoir peur.

- Mais maman je veux pas que tu parte...
- Un jour on se reverra.

- Dans longtemps?
- Je l'espère.

- Pourquoi?
- Car je veux que tu profite de la vie

- Maman je t'aime...
- ...

- Maman ?
- ...

- Maman ?
- ...

- Maman.........

OUAHHH !

D’un baiser sous une nuit étoilée
Tu m'as rendu dingue à jamais
Ton insolente beauté
A su me faire chavirer
Grâce a toi
Notre si grand et si bel amour
File tel une rivière douce
Amenant dans ma vie, folie et gaieté
Bordé d’une grande sincérité
Ni l’enfer ni le paradis
Ne ce mettrons entre nous
Notre amour tel une forteresse
Restera plus forte que tout

TiamO

Pourquoi ne pas agir envers les autres comme Chacun voudrait que l'on agisse envers lui-même ?
JEAN PAUL II

pEtItE pEnSéE pOuR lA pAiX

Pour faire la paix avec un ennemi,
on doit travailler avec cet ennemi,
et cet ennemi devient votre associé. 
Nelson MANDELA

MES HÉROS


Tant de fusils
Tant de canons
Des chars et des avions
Tant de soldats qui ont péri
Pour leur pays, ils ont risqué leur vie.
Imagine-toi le père
Qui reçoit ses ordres de guerre
Qui doit quitter femme et enfants
Sans savoir s’il les reverra.
N’oubliez pas leur courage
N’oubliez pas ceux qui sont morts
N’oubliez pas leurs combats
Ni comment ils ont réagi
Quand ils ont vu
Tomber des amis.

TU TE SOUVIENS ???

Notre premier rendez-vous secret
Cachés à l'ombre d'une forêt
Emerveillés tels deux gamins
Est-ce que tu t'en souviens?

Nos week-end en amoureux
Où l'on remerciait les cieux
Rien ne comptait à nos yeux
Nous étions si heureux

Nos premières vacances
Sous un air d'insousciance
On mélangeait fous-rires
Et projets d'avenir

Nos premières fêtes
Réunis enfin sous la même couette
Des moments inoubliables
Un bonheur inimaginable

Tous ces jours passés ensemble
Avec la même passion qui nous rassemble
Toutes ces nuits d'une volupté intense
De douceur, de jouissance

Je ne peux oublier tous ces instants
Tu me manques éperduement
Mon amour est toujours aussi fort
Te souviens- tu, Mon Trésor?

Pourquoi ne me croyais-tu pas ?

Pourquoi ne me croyais-tu pas
Quand je te disais que je t'aimais
C'est vrai, je ne te mentais pas
J'ai juré de t'aimer à jamais...


Tu ne prenais jamais au sérieux
Mes tendres et sincères sentiments.
Tu me disais être très furieux,
Me demandant de t'oublier absolument!


Je ne sais si tu t'en rendais compte,
Mais tu m'avais rendue malheureuse ce jour,
Je ne sais si tout ceci était fait pour
Mais tu avais vraiment l'esprit prompt...


Pourquoi ne me croyais-tu pas
Quand je te disais que je t'aimais
C'est vrai, je ne te mystifiais pas
J'ai juré de t'aimer à jamais...


Dans notre ville, notre amour fut bâti
Nous eûmes de beaux souvenirs, tout l'été
En démantelant tout, tu es lâchement parti
Laissant mon coeur en morceaux, cassé



Tu avais su caresser de ce feu mon cœur
Lui offrir ces roses d'amour et de bonheur
Mais aussi tôt parti, elles se sont fanées
Ne laissant que l'exhalaison de notre passé


Pourquoi ne me croyais-tu pas
Quand je te disais que je t'aimais
C'est vrai, je ne te trompais pas
J'ai juré de te chérir à jamais...


Je te déposais de tendres baisers,
Souvent des petites fessées;
Couvrais ton cœur de doux je t'aime,
à lécher de plaisir comme de la crème.


Je te serrai très fort dans mes bras,
Je te disais que tu m'avais manqué;
Tu me disais que tout cela n'était que du bla bla,
Et que ce n'était point la vérité...


Mais pourquoi ne me croyais-tu pas
Quand je te disais que je t'adorais
C'est vrai, je ne te dupais pas
J'ai juré de t'aimer tant à jamais...

Entre tes tendres bras ...

Entre tes tendres bras où je me suis blotti
J’ai enfin découvert le sens du mot bonheur.
Tu m’as ouvert ton corps, tu m’as ouvert ton cœur
Et ce moment béni donne un sens à ma vie.

Je te désire encore, toujours, pour la vie.
Maintenant que j’ai bu à la source de l’heur
Je veux boire ton âme et veux boire ton cœur
Je veux boire ta vie et ce jusqu’à la lie.

Ne me prives donc pas de ce plaisir si doux
Qui fait de toi et moi un seul et même nous.
Laisse-nous répéter l’acte de l’harmonie
Et dans les bras de l’autre accomplir notre vie.